Joyland

Publié le 1 Mars 2015

Dans cet article, je vais vous parler d'une des dernières oeuvres de Stephen King qui a été publié en juin 2013 : Joyland

Ce livre nous emmène dans l'univers des fêtes forraines et en particulier dans un parc, situé en Caroline du Nord, appelé Joyland. En effet, Devin Jones, jeune étudiant de 21 ans, souhaite gagner un peu d'argent et décide donc de travailler tout l'été dans ce parc. 

Des forains de longue date vont alors lui apprendre les bases du métier et au fil du temps, il va se lier d'amitié à d'autres saisonniers. 

Assez rapidement, Devin va apprendre qu'une jeune femme a été assasinée dans le train fantôme du parc il y a plusieurs années et que son spectre hanterait maintenant l'attraction. 

Tout au long de l'histoire, Devin va alors vivre une succesion d'évènements qui lui permettront sans vraiment sans rendre compte de mettre la main sur un important criminel. 

 

Comme à son habitude, Stephen King arrive à créer une certaine proximité entre le lecteur et les personnages. Nous nous lions très vite d'amitié pour le personnage principal et nous sommes vite amenés à ressentir ses émotions. 

L'intrigue est peut être un peu lente mais le dénouement est réussi et à la hauteur. 

 

En comparaison avec les autres oeuvres dont j'ai pu vous parler précedemment, celle-ci est beaucoup moins dans le thème gore et seul le dénouement nous permet de ressentir un certain suspense. Au contraire, dans ce livre, ce qui nous marque le plus est l'histoire de ce petit garçon en fauteuil roulant atteint de la myopathie de Duchenne qui, malgré le fait qu'il sait pertinemment que ses jours sont comptés, continue à vivre heureux. Les sentiments du narrateur sont aussi omniprésents et passent d'abord de la nostalgie et de la tristesse de s'être fait larguer par sa petite copine à l'amour et la douceur ressentis envers cet enfant et sa mère. 

 

Je n'ai pas été déçue par ce livre et au contraire, c'est une oeuvre que je conseillerais. Je trouve que c'est une des plus belles oeuvres de Stephen King, à la fois triste et touchante, et qui se dévore très rapidement (pour ma part je l'ai fini en deux jours). Encore une fois, j'ai très peu de critiques négatives. 

 

 

 

 

 

 

albin-michel.fr

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Rédigé par Margaux Lebouc

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